TEXTES ET PENSÉES
Vous ferez connaissance avec mes petits essais, textes ou pensées qui me sont venus ci-dessous.
Peut-être, vous laisserez-vous inspirer par ceux-ci ou simplement vous apporteront-ils une vision différente de la vie !
Mais pourquoi suis-je venu sur cette terre ?
Ne me dites pas que cette question, vous ne vous l'êtes pas posée, au moins une fois !
Voilà un sujet que toute être vivant doté de conscience devrait se poser, arrivé à l'âge adulte, ou plus exactement à l'âge de raison, qui peut varier d'un individu à l'autre.
Cela varie principalement d'après votre cursus spirituel, vos expériences de vie, vos aptitudes ou ressentis et l'âge de votre âme par exemple.
Pour beaucoup, la thèse de notre naissance d'âme, est encore très floue et il conviendrait d'utiliser le conditionnel pour vous donner mon avis, qui n'engage que moi. Quelques ouvrages s'approchent de cette version, comme par exemple le livre de Marie Lise Labonté "Familles d'âmes", que j'ai adoré.
Cette thèse indique que notre âme serait une fraction ou une étincelle de cette Conscience Universelle, nommée aussi 'Dieu', 'Le Créateur', 'Allâh', 'Yahvé' par exemple, selon les traditions ou religions diverses. Il existe une multitude de noms attribués à cette Conscience ou Energie Universelle et Cosmique.
Il faut faire une différence entre l'approche Spirituelle et l'approche Religieuse de cette Energie Universelle. Les nombrables religions, mouvances religieuses et même pseudo-religieuses ou carrément sectaires, canalisent en fait cette universalité en un canal trop réducteur et souvent même opposé aux idées d'Unité que la Conscience Universelle véhicule de par sa nature.
C'est pour cette raison que je m'écarte de toute approche religieuse stricte. Les origines de l'âme sont un mystère et les origines de l'homme ont été maquillées par les religions, alors soyons ouverts au côté Universel de nos origines et ne pas le rejeter simplement parce que l'on a été parfois enrôlé de force dans une religion, 'endoctriné' par des chefs charismatiques ou manipulé par des gourous sans scrupules.
Voilà un sujet que toute être vivant doté de conscience devrait se poser, arrivé à l'âge adulte, ou plus exactement à l'âge de raison, qui peut varier d'un individu à l'autre.
Cela varie principalement d'après votre cursus spirituel, vos expériences de vie, vos aptitudes ou ressentis et l'âge de votre âme par exemple.
Pour beaucoup, la thèse de notre naissance d'âme, est encore très floue et il conviendrait d'utiliser le conditionnel pour vous donner mon avis, qui n'engage que moi. Quelques ouvrages s'approchent de cette version, comme par exemple le livre de Marie Lise Labonté "Familles d'âmes", que j'ai adoré.
Cette thèse indique que notre âme serait une fraction ou une étincelle de cette Conscience Universelle, nommée aussi 'Dieu', 'Le Créateur', 'Allâh', 'Yahvé' par exemple, selon les traditions ou religions diverses. Il existe une multitude de noms attribués à cette Conscience ou Energie Universelle et Cosmique.
Il faut faire une différence entre l'approche Spirituelle et l'approche Religieuse de cette Energie Universelle. Les nombrables religions, mouvances religieuses et même pseudo-religieuses ou carrément sectaires, canalisent en fait cette universalité en un canal trop réducteur et souvent même opposé aux idées d'Unité que la Conscience Universelle véhicule de par sa nature.
C'est pour cette raison que je m'écarte de toute approche religieuse stricte. Les origines de l'âme sont un mystère et les origines de l'homme ont été maquillées par les religions, alors soyons ouverts au côté Universel de nos origines et ne pas le rejeter simplement parce que l'on a été parfois enrôlé de force dans une religion, 'endoctriné' par des chefs charismatiques ou manipulé par des gourous sans scrupules.
Voici une photo de l'une des 15000 pierres d'ICA, au Pérou, découverte en 1966
Eh oui, un dinosaure chassé par des hommes !
Ou bien l'homme vivait bien il y a quelques millions d'années sous notre forme actuelle, ou les dinosaures vivaient il y a 30000 ans environ !
Preuve de la manipulation que l'on subit quant à nos origines.
La libre pensée est une chose que l'on ne pourra jamais (du moins je l'espère !) nous enlever !
Pour en revenir à notre mission de vie, car c'est bien de cela qu'il s'agit, nous pouvons être appelé à nous nous demander très rapidement ce qu'elle est réellement, déjà très jeune et rempli de questionnements existentiels. Nous pouvons aussi nous poser cette question à un âge plus mûr, après un travail spirituel ou des rencontres qui ne sont jamais dues au hasard en général.
Mais notre âme a un certain âge et selon sa maturité et ses expériences nous nous poserons la question ...... ou pas !
Une âme très jeune débutera sa "carrière" sous des aspects plus primitifs, dans des incarnations très terrestre, ou la vie se résumera à la survie, la recherche de nourriture et la procréation. Nous retrouvons là les caractéristiques de nos ancêtres Cro-magons ou Néanderthaliens.
Puis au fil des incarnations, l'âme ira habiter des êtres de plus en plus évolués. C'est là qu'apparaissent nos ancêtres un peu plus Sages, que l'on retrouve dans les civilisations égyptiennes (qui pourraient être en fait les descendants du peuple Atlante - Voir les livres d'Anton Parks), celtes, sumériennes ou indiennes entre autres. Nous y voyons déjà une approche plus spirituelle, avec une connexion à la nature et à certaines divinités. L'homme commence à réfléchir à ses origines !
Mais des âmes naissent en permanence et peuplent divers mondes ou d'autres plans parallèles, pas forcément physiques comme le notre.
Nous voyons bien que rien que sur notre terre, le nombre d'habitants est passé de 5 millions il y a 10 000 ans à 7 milliards aujourd'hui, soit 1400 fois plus en si peu de temps !
De nouvelles âmes arrivent encore actuellement et nous les retrouvons plutôt dans ces tribus éloignées d'Amazonie, d'Afrique ou d'Amérique du sud par exemple. Mais il semblerait que ces dernières soient plutôt des âmes plus âgées venant d'autres mondes ou plans, car les notions de divinités ou de reliance à la nature sont déjà présentes au sein de ces tribus.
Une fois notre personnalité plus éveillée, à partir du moment ou notre libre-arbitre nous incline à faire le bien ou des actions plus justes, les acquis ou les expériences de vies qui restent gravées dans notre âme font que nous nous incarnerons en un corps ou au sein d'une famille qui sera en adéquation avec notre avancée et notre 'niveau' (bien que je n'aime pas ce mot, il s'agit de quantifier la conscience en une valeur) d'éveil. C'est alors que nous croiserons la route de certaines âmes qui nous feront grandir et avancer de plus en plus sur le chemin.
Mais théoriquement (voir le livre d'Allan Kardec, Le livre des esprits), l'âme ne régresse pas au fil des incarnations et gardera les mémoires de ses expériences. Par contre, notre libre-arbitre pourra peut-être faire en sorte que les choix à faire lors de l'incarnation suivante, ne soient pas ceux qui étaient prévus, ce qui provoquera non pas une régression, mais un 'sur-place' dans notre avancée et donc une incarnation pour rien ou presque.
La suivante sera peut-être la bonne et l'âme évoluera encore un peu si tout se passe bien au niveau de notre mission de vie justement.
Chaque incarnation nous permet de mettre en application les enseignements que l'on nous donne sur les plans supérieurs. Nos Guides sont là pour nous apprendre certaines choses, nous informer des comportements ou des actions que l'on pourrait améliorer et nous attribuer également un rôle pour l'incarnation à venir.
Une fois de l'autre côté, nous n'avons pas fini de travailler, mais heureusement, il n'y aura plus de fatigue, de faim ou soif, ni de biens matériels à accumuler !
Lorsque notre mission aura été acceptée, notre famille choisie, voilà que l'on reviendra sur Terre (ou ailleurs !) pour une nouvelle aventure et pour mettre en application ce que nous avons appris là-haut.
Mais il y a un problème de taille : nous passons d'abord par une salle d'effacement de la mémoire, de façon à ne plus nous souvenir de notre vraie vie, qui elle se trouve en vérité sur ces plans de lumière, là où il fait bon vivre. En fait, le retour sur Terre est une épreuve parfois très difficile et certaines âmes refusent de revenir pour s'incarner.
La terre est donc notre terrain d'entrainement ou nous devrons si possible, mettre en application ce que nous avons appris.
Mais bien que la mémoire a été effacée, nous garderons quand même quelques bribes de nos anciennes vies et surtout, nous aurons toutes nos mémoires akashiques de nos vies passées avec nous, en nous, exploitables lors de séances spirituelles ou de méditations.
Ne trouvez-vous pas bizarre ces jeunes prodiges qui jouent d'un instrument de musique à 3 ans, des facilités que l'on a pour faire certaines choses ou certains sports, les attirances pour des activités ou des personnes sans savoir pourquoi, etc .... ?
Tout n'est pas lié à l'intelligence, mais aux mémoires accumulées de nos vies passées.
Ainsi, si vous étiez mousse sur un bateau il y 2 ou 3 vies, comme par hasard dans la vie actuelle, vous serez attirés par la mer et habiterez peut-être sur la côte.
Vous avez un coup de foudre inexpliqué aujourd'hui ? N'était-ce pas votre ex-aventure sentimentale la vie passée ?
Vous étiez artiste-peintre et vous voilà doué pour dessiner dans cette vie !
Mais la mission de vie que l'on nous demande d'effectuer est bien plus importante. Il est utile de s'en souvenir et de ne pas perdre une vie terrestre à la chercher et revenir encore une fois pour essayer à nouveau. Nous sommes peut-être immortels, mais il nous faut avancer, afin d'aider les autres et de recevoir au fil des vies des tâches de plus en plus complexes et intéressantes à effectuer.
C'est pour cela que nous sommes là !
Nous devons évoluer et participer au travail des plans Supérieurs, car ils ont besoin de chacun d'entre-nous pour éclairer le monde ou les mondes, et Dieu seul sait quelle est la taille de ce ou ces mondes.
Nous avons donc du pain sur la planche !
Du coup, pour retrouver la mémoire de ces missions à effectuer, ils nous mettent sur notre route les âmes que l'on doit rencontrer, les lieux à visiter, ils nous font resurgir lors de nos rêves ou méditations la mémoire de certaines actions ou de certaines paroles que nous avons entendues sur l'autre plan.
Nous rencontrerons aussi les personnes qui sauront nous guider et aurons de nombreux messages de nos Guides, mais aurons aussi beaucoup de difficultés à les voir ou les comprendre.
Les signes transmis par nos Guides pour nous mettre sur la voie sont parfois difficiles à suivre ou a entendre, car cela demandera peut-être de changer quelque chose en nous, de modifier notre train de vie, de changer nos relations, de déménager ou parfois de quitter un travail qui souvent ne nous correspondait pas.
C'est dans ces moments-là que les plans supérieurs testent notre foi et le fait de ne pas accepter le changement par peur de celui-ci justement, freinera notre évolution et ralentira le phénomène d'éveil que nous avons engagé il y a bien longtemps.
La vie est une rivière tumultueuse, dans laquelle nous sommes plongé, non pas pour y nager à contre-courant, ce qui nous ne ferait pas avancer, mais pour y nager dans le sens du courant, afin d'aller de l'avant et de pouvoir éviter les écueils qui se présentent devant nous.
Et l'écueil principal à mon avis, c'est bien la peur du changement et des habitudes. Suivez vos instincts, vos ressentis. Ecoutez votre âme et non plus les autres.
Laissez-vous guider par votre intuition et baissez le son de votre mental. Faites confiance à la vie et prenez comme cadeaux toutes les épreuves que vous devrez apprendre à surmonter, afin de répondre présent à la demande de nos Guides de Lumière.
Votre mission de vie est en vous et il vous suffit d'un message, d'un indice, d'une rencontre, pour avoir le déclic et savoir ce qu'il faudra faire sans cette vie !
Vous pouvez venir me voir et lors d'une séance, nous regarderons quelles pourraient être vos aspirations ou missions dans votre vie actuelle ;)
Pour en revenir à notre mission de vie, car c'est bien de cela qu'il s'agit, nous pouvons être appelé à nous nous demander très rapidement ce qu'elle est réellement, déjà très jeune et rempli de questionnements existentiels. Nous pouvons aussi nous poser cette question à un âge plus mûr, après un travail spirituel ou des rencontres qui ne sont jamais dues au hasard en général.
Mais notre âme a un certain âge et selon sa maturité et ses expériences nous nous poserons la question ...... ou pas !
Une âme très jeune débutera sa "carrière" sous des aspects plus primitifs, dans des incarnations très terrestre, ou la vie se résumera à la survie, la recherche de nourriture et la procréation. Nous retrouvons là les caractéristiques de nos ancêtres Cro-magons ou Néanderthaliens.
Puis au fil des incarnations, l'âme ira habiter des êtres de plus en plus évolués. C'est là qu'apparaissent nos ancêtres un peu plus Sages, que l'on retrouve dans les civilisations égyptiennes (qui pourraient être en fait les descendants du peuple Atlante - Voir les livres d'Anton Parks), celtes, sumériennes ou indiennes entre autres. Nous y voyons déjà une approche plus spirituelle, avec une connexion à la nature et à certaines divinités. L'homme commence à réfléchir à ses origines !
Mais des âmes naissent en permanence et peuplent divers mondes ou d'autres plans parallèles, pas forcément physiques comme le notre.
Nous voyons bien que rien que sur notre terre, le nombre d'habitants est passé de 5 millions il y a 10 000 ans à 7 milliards aujourd'hui, soit 1400 fois plus en si peu de temps !
De nouvelles âmes arrivent encore actuellement et nous les retrouvons plutôt dans ces tribus éloignées d'Amazonie, d'Afrique ou d'Amérique du sud par exemple. Mais il semblerait que ces dernières soient plutôt des âmes plus âgées venant d'autres mondes ou plans, car les notions de divinités ou de reliance à la nature sont déjà présentes au sein de ces tribus.
Une fois notre personnalité plus éveillée, à partir du moment ou notre libre-arbitre nous incline à faire le bien ou des actions plus justes, les acquis ou les expériences de vies qui restent gravées dans notre âme font que nous nous incarnerons en un corps ou au sein d'une famille qui sera en adéquation avec notre avancée et notre 'niveau' (bien que je n'aime pas ce mot, il s'agit de quantifier la conscience en une valeur) d'éveil. C'est alors que nous croiserons la route de certaines âmes qui nous feront grandir et avancer de plus en plus sur le chemin.
Mais théoriquement (voir le livre d'Allan Kardec, Le livre des esprits), l'âme ne régresse pas au fil des incarnations et gardera les mémoires de ses expériences. Par contre, notre libre-arbitre pourra peut-être faire en sorte que les choix à faire lors de l'incarnation suivante, ne soient pas ceux qui étaient prévus, ce qui provoquera non pas une régression, mais un 'sur-place' dans notre avancée et donc une incarnation pour rien ou presque.
La suivante sera peut-être la bonne et l'âme évoluera encore un peu si tout se passe bien au niveau de notre mission de vie justement.
Chaque incarnation nous permet de mettre en application les enseignements que l'on nous donne sur les plans supérieurs. Nos Guides sont là pour nous apprendre certaines choses, nous informer des comportements ou des actions que l'on pourrait améliorer et nous attribuer également un rôle pour l'incarnation à venir.
Une fois de l'autre côté, nous n'avons pas fini de travailler, mais heureusement, il n'y aura plus de fatigue, de faim ou soif, ni de biens matériels à accumuler !
Lorsque notre mission aura été acceptée, notre famille choisie, voilà que l'on reviendra sur Terre (ou ailleurs !) pour une nouvelle aventure et pour mettre en application ce que nous avons appris là-haut.
Mais il y a un problème de taille : nous passons d'abord par une salle d'effacement de la mémoire, de façon à ne plus nous souvenir de notre vraie vie, qui elle se trouve en vérité sur ces plans de lumière, là où il fait bon vivre. En fait, le retour sur Terre est une épreuve parfois très difficile et certaines âmes refusent de revenir pour s'incarner.
La terre est donc notre terrain d'entrainement ou nous devrons si possible, mettre en application ce que nous avons appris.
Mais bien que la mémoire a été effacée, nous garderons quand même quelques bribes de nos anciennes vies et surtout, nous aurons toutes nos mémoires akashiques de nos vies passées avec nous, en nous, exploitables lors de séances spirituelles ou de méditations.
Ne trouvez-vous pas bizarre ces jeunes prodiges qui jouent d'un instrument de musique à 3 ans, des facilités que l'on a pour faire certaines choses ou certains sports, les attirances pour des activités ou des personnes sans savoir pourquoi, etc .... ?
Tout n'est pas lié à l'intelligence, mais aux mémoires accumulées de nos vies passées.
Ainsi, si vous étiez mousse sur un bateau il y 2 ou 3 vies, comme par hasard dans la vie actuelle, vous serez attirés par la mer et habiterez peut-être sur la côte.
Vous avez un coup de foudre inexpliqué aujourd'hui ? N'était-ce pas votre ex-aventure sentimentale la vie passée ?
Vous étiez artiste-peintre et vous voilà doué pour dessiner dans cette vie !
Mais la mission de vie que l'on nous demande d'effectuer est bien plus importante. Il est utile de s'en souvenir et de ne pas perdre une vie terrestre à la chercher et revenir encore une fois pour essayer à nouveau. Nous sommes peut-être immortels, mais il nous faut avancer, afin d'aider les autres et de recevoir au fil des vies des tâches de plus en plus complexes et intéressantes à effectuer.
C'est pour cela que nous sommes là !
Nous devons évoluer et participer au travail des plans Supérieurs, car ils ont besoin de chacun d'entre-nous pour éclairer le monde ou les mondes, et Dieu seul sait quelle est la taille de ce ou ces mondes.
Nous avons donc du pain sur la planche !
Du coup, pour retrouver la mémoire de ces missions à effectuer, ils nous mettent sur notre route les âmes que l'on doit rencontrer, les lieux à visiter, ils nous font resurgir lors de nos rêves ou méditations la mémoire de certaines actions ou de certaines paroles que nous avons entendues sur l'autre plan.
Nous rencontrerons aussi les personnes qui sauront nous guider et aurons de nombreux messages de nos Guides, mais aurons aussi beaucoup de difficultés à les voir ou les comprendre.
Les signes transmis par nos Guides pour nous mettre sur la voie sont parfois difficiles à suivre ou a entendre, car cela demandera peut-être de changer quelque chose en nous, de modifier notre train de vie, de changer nos relations, de déménager ou parfois de quitter un travail qui souvent ne nous correspondait pas.
C'est dans ces moments-là que les plans supérieurs testent notre foi et le fait de ne pas accepter le changement par peur de celui-ci justement, freinera notre évolution et ralentira le phénomène d'éveil que nous avons engagé il y a bien longtemps.
La vie est une rivière tumultueuse, dans laquelle nous sommes plongé, non pas pour y nager à contre-courant, ce qui nous ne ferait pas avancer, mais pour y nager dans le sens du courant, afin d'aller de l'avant et de pouvoir éviter les écueils qui se présentent devant nous.
Et l'écueil principal à mon avis, c'est bien la peur du changement et des habitudes. Suivez vos instincts, vos ressentis. Ecoutez votre âme et non plus les autres.
Laissez-vous guider par votre intuition et baissez le son de votre mental. Faites confiance à la vie et prenez comme cadeaux toutes les épreuves que vous devrez apprendre à surmonter, afin de répondre présent à la demande de nos Guides de Lumière.
Votre mission de vie est en vous et il vous suffit d'un message, d'un indice, d'une rencontre, pour avoir le déclic et savoir ce qu'il faudra faire sans cette vie !
Vous pouvez venir me voir et lors d'une séance, nous regarderons quelles pourraient être vos aspirations ou missions dans votre vie actuelle ;)
La quête du bonheur !
Il fut un temps ou la quête du bonheur se limitait pour l'homme à le maintenir en vie coûte que coûte.
En ces temps reculés, l'être humain, à peine tenait-il sur ses deux jambes, qu'il devait faire face à l'exercice périlleux de veiller sur sa vie et sur celles de ses proches.
A l'heure actuelle, tout semble encore bien flou quant aux origines de notre espèce et surtout à déterminer quand et comment l'Homo erectus s'est retrouvé là, au beau milieu de nulle part sur le continent africain, lointain cousin théorique des Austalopithèques qui étaient présents il y a 5 millions d'années.
Le seul hic, c'est que nous ne trouvons nulle trace du chainon manquant, théoriquement présent il y a 3 millions d'années, dont l'importance est cruciale pour nous qui avons hérité de cet outil extraordinaire qu'est ce beau pouce opposé aux autres doigts, que les Australopithèques ne possédaient pas.
C'est ce fameux pouce qui détermine la naissance de la lignée des Homos, dont le premier connu se nomme Rudolfensis, il y a environ 2,5 millions d'années et dont le dernier en date, en l'occurrence nous, se nomme Sapiens.
Donc, voici notre ancêtre, un Homo Habilis, armé de son pouce magique, il y a environ 3 millions d'années né de père inconnu pour nos éminents anthropologues, ou d'un singe selon Darwin, assez agile pour monter aux arbres, habile de ses mains et assez haut sur ses jambes pour voir arriver le danger dans les hautes herbes.
Ses seules préoccupations furent la cueillette de fruits pour se nourrir quotidiennement et la course poursuite pour échapper aux félins et autres prédateurs que comptaient ces grands espaces.
Autant dire que se vie ne fut pas aussi tranquille qu'on pourrait se l'imaginer. Nous pouvons même dire que c'est miraculeux de voir notre population aussi importante, alors que cet homme plutôt frêle, courant nettement moins vite qu'un lion, peut se vanter d'avoir survécu et par la suite supplanté toutes les autres espèces, grâce à son habileté, son intelligence et son organisation.
Ce premier homme s'est déplacé et nous le verrons apparaitre en Europe il y a environ 2 millions d'années, en Asie et en Amérique du sud il y a environ 40 000 ans.
La question que l'on pourrait se poser, c'est bien de savoir si la notion de bonheur existait à l'époque. Nos ancêtres étaient-ils heureux ou vivaient-ils simplement jour après jour dans l'esprit de ne pas mourir de faim et de ne pas être croqués eux-mêmes, c'est-à-dire comme un animal qui suit son instinct et ne se posant pas la question quant à son bien-être et aux plaisirs de la vie.
C'est là que la notion de bonheur prend tout son sens. Si l'on considère que l'Homo Habilis a trouvé le moyen de survivre, de protéger les siens et de perpétuer l'espèce humaine, nous pouvons dire qu'à un certain moment ou à un certain degré de son évolution, l'homme a réussi à assurer ses arrières, à créer une communauté, des défenses efficaces et donc à partir de là, a put vivre plus sereinement, découvrant par la même occasion un plaisir qu'il ne connaissait pas ; celui de savourer le moment présent et d'être heureux lorsque tout allait bien.
Voici donc les premiers êtres humains ayant trouvé un certain bonheur, un bonheur simple mais suffisant.
Pour eux, la quête du bonheur était tout simplement de pouvoir assister au lever du soleil sans avoir subit d'attaques dans la nuit, de voir un premier fruit printanier s'offrir à leurs palais, remplaçant avantageusement le goût des racines et des herbes qu'ils ont mangé durant l'hiver, de constater que leur abri de pierres avait tenu bon durant la tempête ou que le nouveau né montrait le bout de son nez sans que la maman ne meure en couches.
Le bonheur était présent, en harmonie avec la vie simple et rustique qu'ils avaient, sans fioritures, sans excès et surtout très naturel.
Mais l'homme a évolué petit à petit et son mode de vie a prit une autre tournure. Les premières querelles sont apparues, puis les premières guerres. La valeur des choses prenait toute son importance et voici que les objets, les outils, le bétail, la nourriture, les terres et finalement presque tout devait être négocié et nous retrouverons alors un bonheur différent.
Certains hommes auront plaisir à gagner des combats, d'autres à s'enrichir, d'autres encore à collectionner les territoires ou les femmes. Nous trouverons finalement ces caractéristiques encore de nos jours et nous constatons que l'homme n'a pas beaucoup changé depuis 5000 ans et que la quête du bonheur s'est orientée dans des plaisirs n'ayant plus rien à voir avec les choses fondamentales de la vie. Plus personne ou presque ne trouvera le bonheur dans les fondements de la vie et il faut actuellement regarder du côté des peuples que l'on dit sauvages, dans les tribus vivant loin de notre civilisation, pour voir encore ce concept de bonheur naturel et simple.
Quelques personnes encore, sur cette terre, vivent à la manière de nos lointains ancêtres et se régalent des plaisirs de la vie. Une chasse abondante, un temps clément, une famille en bonne santé ; que demander de plus à la vie ?
Le bonheur vrai se trouve finalement à l'essence même de notre civilisation et non pas au cœur de notre société moderne.
De nos jours, le bonheur est bien différent selon les personnes.
Pour l'un se sera de faire ripaille et de remplir sa bedaine jusqu'à éclater. Pour l'autre, une voiture de sport pouvant rouler à 300 km/h sera le bonheur suprême et pour un troisième, un compte en banque avec un pécule de plusieurs milliards fera son bonheur.
Mais tous ces bonheurs le sont-ils vraiment. La richesse, le pouvoir, les abus, la luxure et tous ces plaisirs n'assureront pas toujours le bonheur réel. Combien de personnes célèbres et riches mettent fin à leurs jours ?
La vie nous montre toujours la voie la plus simple et finalement nous offre chaque jour un bonheur différent. Une rencontre, un sourire, un rayon de soleil, un fruit goûteux, un mot d'amour, un vue magnifique, un ciel étoilé.
Tous les jours nous avons ces cadeaux de la vie, ces plaisirs vrais, simples et notre bonheur pourrait être tout simplement basé sur ces instants que l'on nous offre chaque jour, ces moments, parfois fugaces, parfois difficiles à observer, ces moments d'éternité qui peuvent parfois rester gravés dans notre cœur et d'autres qui peuvent parfois changer notre vie.
Finalement la quête du bonheur est la plus simple des quêtes. C'est celle qui nous demande le moins d'efforts et que l'on peut très bien accomplir chaque jour.
Soyons heureux de ce que l'on a, de ce que l'on vit et de ceux qui veillent sur nous en nous les offrant généreusement.
Êtes-vous prêts pour cette nouvelle quête ?
En ces temps reculés, l'être humain, à peine tenait-il sur ses deux jambes, qu'il devait faire face à l'exercice périlleux de veiller sur sa vie et sur celles de ses proches.
A l'heure actuelle, tout semble encore bien flou quant aux origines de notre espèce et surtout à déterminer quand et comment l'Homo erectus s'est retrouvé là, au beau milieu de nulle part sur le continent africain, lointain cousin théorique des Austalopithèques qui étaient présents il y a 5 millions d'années.
Le seul hic, c'est que nous ne trouvons nulle trace du chainon manquant, théoriquement présent il y a 3 millions d'années, dont l'importance est cruciale pour nous qui avons hérité de cet outil extraordinaire qu'est ce beau pouce opposé aux autres doigts, que les Australopithèques ne possédaient pas.
C'est ce fameux pouce qui détermine la naissance de la lignée des Homos, dont le premier connu se nomme Rudolfensis, il y a environ 2,5 millions d'années et dont le dernier en date, en l'occurrence nous, se nomme Sapiens.
Donc, voici notre ancêtre, un Homo Habilis, armé de son pouce magique, il y a environ 3 millions d'années né de père inconnu pour nos éminents anthropologues, ou d'un singe selon Darwin, assez agile pour monter aux arbres, habile de ses mains et assez haut sur ses jambes pour voir arriver le danger dans les hautes herbes.
Ses seules préoccupations furent la cueillette de fruits pour se nourrir quotidiennement et la course poursuite pour échapper aux félins et autres prédateurs que comptaient ces grands espaces.
Autant dire que se vie ne fut pas aussi tranquille qu'on pourrait se l'imaginer. Nous pouvons même dire que c'est miraculeux de voir notre population aussi importante, alors que cet homme plutôt frêle, courant nettement moins vite qu'un lion, peut se vanter d'avoir survécu et par la suite supplanté toutes les autres espèces, grâce à son habileté, son intelligence et son organisation.
Ce premier homme s'est déplacé et nous le verrons apparaitre en Europe il y a environ 2 millions d'années, en Asie et en Amérique du sud il y a environ 40 000 ans.
La question que l'on pourrait se poser, c'est bien de savoir si la notion de bonheur existait à l'époque. Nos ancêtres étaient-ils heureux ou vivaient-ils simplement jour après jour dans l'esprit de ne pas mourir de faim et de ne pas être croqués eux-mêmes, c'est-à-dire comme un animal qui suit son instinct et ne se posant pas la question quant à son bien-être et aux plaisirs de la vie.
C'est là que la notion de bonheur prend tout son sens. Si l'on considère que l'Homo Habilis a trouvé le moyen de survivre, de protéger les siens et de perpétuer l'espèce humaine, nous pouvons dire qu'à un certain moment ou à un certain degré de son évolution, l'homme a réussi à assurer ses arrières, à créer une communauté, des défenses efficaces et donc à partir de là, a put vivre plus sereinement, découvrant par la même occasion un plaisir qu'il ne connaissait pas ; celui de savourer le moment présent et d'être heureux lorsque tout allait bien.
Voici donc les premiers êtres humains ayant trouvé un certain bonheur, un bonheur simple mais suffisant.
Pour eux, la quête du bonheur était tout simplement de pouvoir assister au lever du soleil sans avoir subit d'attaques dans la nuit, de voir un premier fruit printanier s'offrir à leurs palais, remplaçant avantageusement le goût des racines et des herbes qu'ils ont mangé durant l'hiver, de constater que leur abri de pierres avait tenu bon durant la tempête ou que le nouveau né montrait le bout de son nez sans que la maman ne meure en couches.
Le bonheur était présent, en harmonie avec la vie simple et rustique qu'ils avaient, sans fioritures, sans excès et surtout très naturel.
Mais l'homme a évolué petit à petit et son mode de vie a prit une autre tournure. Les premières querelles sont apparues, puis les premières guerres. La valeur des choses prenait toute son importance et voici que les objets, les outils, le bétail, la nourriture, les terres et finalement presque tout devait être négocié et nous retrouverons alors un bonheur différent.
Certains hommes auront plaisir à gagner des combats, d'autres à s'enrichir, d'autres encore à collectionner les territoires ou les femmes. Nous trouverons finalement ces caractéristiques encore de nos jours et nous constatons que l'homme n'a pas beaucoup changé depuis 5000 ans et que la quête du bonheur s'est orientée dans des plaisirs n'ayant plus rien à voir avec les choses fondamentales de la vie. Plus personne ou presque ne trouvera le bonheur dans les fondements de la vie et il faut actuellement regarder du côté des peuples que l'on dit sauvages, dans les tribus vivant loin de notre civilisation, pour voir encore ce concept de bonheur naturel et simple.
Quelques personnes encore, sur cette terre, vivent à la manière de nos lointains ancêtres et se régalent des plaisirs de la vie. Une chasse abondante, un temps clément, une famille en bonne santé ; que demander de plus à la vie ?
Le bonheur vrai se trouve finalement à l'essence même de notre civilisation et non pas au cœur de notre société moderne.
De nos jours, le bonheur est bien différent selon les personnes.
Pour l'un se sera de faire ripaille et de remplir sa bedaine jusqu'à éclater. Pour l'autre, une voiture de sport pouvant rouler à 300 km/h sera le bonheur suprême et pour un troisième, un compte en banque avec un pécule de plusieurs milliards fera son bonheur.
Mais tous ces bonheurs le sont-ils vraiment. La richesse, le pouvoir, les abus, la luxure et tous ces plaisirs n'assureront pas toujours le bonheur réel. Combien de personnes célèbres et riches mettent fin à leurs jours ?
La vie nous montre toujours la voie la plus simple et finalement nous offre chaque jour un bonheur différent. Une rencontre, un sourire, un rayon de soleil, un fruit goûteux, un mot d'amour, un vue magnifique, un ciel étoilé.
Tous les jours nous avons ces cadeaux de la vie, ces plaisirs vrais, simples et notre bonheur pourrait être tout simplement basé sur ces instants que l'on nous offre chaque jour, ces moments, parfois fugaces, parfois difficiles à observer, ces moments d'éternité qui peuvent parfois rester gravés dans notre cœur et d'autres qui peuvent parfois changer notre vie.
Finalement la quête du bonheur est la plus simple des quêtes. C'est celle qui nous demande le moins d'efforts et que l'on peut très bien accomplir chaque jour.
Soyons heureux de ce que l'on a, de ce que l'on vit et de ceux qui veillent sur nous en nous les offrant généreusement.
Êtes-vous prêts pour cette nouvelle quête ?
Crise sanitaire – Le jeu des 7 familles
Je
ne suis qu'une personne simple, un retraité pas particulièrement doté
d'une intelligence hors norme comme certains scientifiques ou savants
lettrés, mais j'aime à analyser les situations et regarder les
comportements des personnes qui m'entourent ou celles que je regarde au
fil de mes découvertes télévisuelles ou sur la toile mondiale.
En
ces temps très agités et dans un contexte où l'on remarque les guerres
de pouvoir, la manipulation des données, les analyses tronquées de nos
médias, le combat de coqs de nos chers scientifiques et toutes les
réactions de panique de nos concitoyens, je peux constater qu'il existe
plusieurs catégories d'individus, dont certains tirant les ficelles et
d'autres se laissant manipuler comme des pantins, sans se demander quoi
que ce soit.
Entre les
deux, de nombreuses catégories ou familles de personnes, pour lesquelles
j'aimerais bien m'étendre quelque peu. Mais commençons par la famille
qui comprend le plus grand nombre de membres !
LES DORMEURS
Pour
environ 45% de la population, il me semble que l'on a affaire à cette
famille très sociable, souvent occupée à s'instruire en regardant la
télévision et les nouvelles de nos chaines publiques en priorité.
Généralement,
ils boivent les informations comme du petit lait, adorent entendre nos
chefs d'États leur parler en direct et sont très heureux de suivre leurs
conseils officiels et ne loupent pas le journal télévisé de 20H.
Ils
suivent aveuglément les instructions des médecins et scientifiques
invités au journal télévisé et sont de très bons citoyens modèles, ne
traversant pas la chaussée en dehors des clous en général.
Ils
attendent le signal officiel pour pouvoir mettre les masques, même dans
les zones où ce n'est pas obligatoire, seuls dans leur véhicule ou même
sur un vélo.
Ils apprécient le confinement et attendent avec impatience un vaccin qui va les sauver tous !
Ils en seraient presque à hésiter de sortir à la fin du confinement, sait-on jamais ….
LES INDÉCIS
Une grande famille elle aussi, qui frise les 25% d'individus !
Cette famille, issue de la précédente en grande partie, en reprend la quasi-totalité des caractéristiques.
Très
friande elle aussi des nouvelles, des conférences, des textes de lois
et autres conseils avisés de nos spécialistes, leurs membres ont
pourtant un petit défaut ou un bug, qui parfois agite leurs neurones,
dans le sens où ils se retrouvent à se poser des questions quant à ce
qu'ils viennent d'entendre ou de voir.
Oh,
ce n'est pas très souvent, mais quand même, il leur arrive de douter
légèrement de la sincérité de l'orateur, des chiffres annoncés ou des
images chocs et des nouvelles sans cesse alarmantes données tous les
jours.
Il se peut même,
dans des cas extrêmes, mais rares, qu'ils en discutent avec leurs
proches ou leurs familles pour essayer de savoir si d'autres personnes
osent penser comme eux. Dans ce cas, ces gens-là restent perplexes et ne
savent plus quoi penser !
C'est
un peu comme un autre bug qui va les perturber un temps. Juste le temps
de se reconnecter à la source, c'est-à-dire le JT !
LES SCEPTIQUES
Un peu moins importante que la famille précédente, cette famille des sceptiques représente environ 15% de la population.
Le
bug des indécis peut parfois provoquer certains disfonctionnements dans
les capacités d'analyses de ces derniers. Une fois ce problème
amplifié, ils quittent la deuxième famille derechef, souvent en froid
avec ces derniers et encore plus avec la première famille, celle des
dormeurs.
Par on ne
sait quel moyen, ils en viennent à réfuter certaines déclarations, à
douter de l'honnêteté du chef d'État qui s'adresse au peuple, à
s'interroger, oui, vous avez bien lu, à s'interroger sur le bien-fondé
des décrets et autres lois restrictives.
Quel honte !!!
Cette
famille s'écarte déjà beaucoup de la voie tracée par nos gouvernants,
dépassant la ligne jaune (qui est blanche depuis longtemps) assez
régulièrement pour naviguer sur internet et tenter de trouver des
informations intéressantes en rapport avec ce qu'ils ont vu ou entendu.
Ils
mettent en doute le système et se méfient des informations, ce qui
provoque parfois quelques mouvements de révolte, outre-passants
certaines règles officielles.
Ils
peuvent très bien s'abstenir de porter le masque, même dans certains
lieux clos ou refuser certaines restrictions, mais en général, de façon
discrète et limitée dans le temps. Il ne faut pas non plus prendre trop
de risques !
LES ÉVEILLÉS
Alors
là, nous abordons la famille maudite, celle des moutons noirs du
gouvernement, qui pourtant, ne représente que 7% des personnes.
Une
famille honteusement mal éduquée, qui n'hésite pas à regarder des
vidéos, à lire de nombreux livres et écouter les conférences de
personnages faisant partie des divergents, aussi bien dans le camp de
scientifiques que dans les autres domaines d'expression.
Il
ne faut pas leur parler du journal télévisé, source de fausses
informations à leurs yeux, ni deviser sur le discours pourtant si engagé
du Président de la République, sonnant faux à leurs yeux.
Ils
impriment des documents pour essayer de convaincre les membres des
autres familles précédentes, dont parfois l'une ou l'autre peut se
laisser influencer.
Mais
il faut bien reconnaitre que dans cette famille, les membres sont
plutôt virils, parfois agitateurs et très bien documentés quoi qu'il en
soit !
Par exemple, ils
sont susceptibles de se demander pourquoi les médias et le gouvernement
annonce 33000 décès du Covid-19 alors qu'en calculant bêtement la
différence du nombre de décès moyen des dernières années en comparaison,
il n'y a que 15000 décès de plus pour la même date !
Ils
dérangent beaucoup les politiques et sont la plupart du temps censurés
ou expulsés de leurs chaînes publiques. Nous remarquons même que les
médecins ou scientifiques faisant partie de cette famille maudite, sont
bannis des plateaux télé ou des interviews. Ils sont critiqués et toute
la famille est souvent traitée de complotiste.
C'est
terrible pour une famille qui ne fait finalement qu'un travail de
recherches et d'information, étayant régulièrement ses dires de preuves
irréfutables, mais niées sans vergogne par d'autres familles, cultivant
la mauvaise foi, surtout certains membres de la famille de dociles,
refusant tout semblant de machination ou de scandale de la part de nos
officiels !
LES AVERTISSEURS
Comme
les klaxons de nos véhicules, les membres de cette famille très peu
présente autour de nous, mais bien présente sur les réseaux sociaux en
général, constituent la source d'informations pour les deux familles
précédentes.
Ils sont
peu nombreux, peut-être 1% d'entre nous, d'où le risque de les voir
disparaitre un jour, par l'effet de censures, de condamnations, de
dénigrement de la part de nos gouvernements et des ennemis jurés de ces
personnes actives, ne ménageant par leurs peines pour chercher çà et là
les informations qui mettent à mal généralement les scandales en cours
et les mensonges d'États.
Ils
sont à peine une poignée, mais bien répartis sur le globe et surtout
reliés entre eux afin de collecter et de communiquer toutes leurs
informations.
Bien
entendu, ce n'est pas une tâche aisée que d'attaquer les autorités et
les puissances de ce monde, sachant que les moyens démesurés de ces
derniers peuvent très souvent faire voler en éclat toute une population
en la réduisant en esclavage ou presque !
Ils
sont donc au front et dans leur rôle de pots de terre, face aux
terribles pots de fer armés jusqu'aux dents, ils encaissent les coups,
les brimades, les critiques, les punitions médiatiques et tout un
cortège d'attaques, bien orchestrés par ceux qui sont visés. Mais ils
sont vaillants et robustes, toujours prêts à en découdre et il faut bien
le dire, ils endossent quand même un peu le costume de super-héros qui
combattent sans relâche les dangereux malfaiteurs de ce monde.
Parmi
ces avertisseurs, il faut noter leurs origines très disparates, du
simple quidam bien documenté et curieux de nature, au scientifique
rebelle, sortant de l'ornière, en passant par quelques médias bien plus
intègres que la plupart de ceux que l'on connait ou des chefs
d'entreprises qui ont pour objectif de vouloir le meilleur pour leur
famille et leur descendance dans les années à venir.
Leurs
tâches sont ardues et contre vent et marées, avancent à contre-courant
dans une vie où les occasions de témoigner son mécontentement sont
nombreuses malheureusement !
Le
jour où l'empoisonnement généralisé de nos gouvernants, par le biais du
pouvoir et de l'argent, alimenté par les lobbies pharmaceutiques et
autres géants de l'agro-alimentaire par exemple, ne touchera plus le
corps médical vérolé et que les conflits d'intérêts n'auront plus lieu
d'être, cette famille risquera très certainement de disparaitre elle
aussi ….. pour le plus grand bonheur de tous !
LES MALINS
J'estime à 4%, la taille de cette famille particulière. Une famille qui observe et agit en fonction de la direction du vent.
Les
malins sont justement très malins et surfent sur les vagues provoquées
par les crises économiques, sociales, politiques, sanitaires ou
militaires, comme des pros !
Restant
toujours la tête hors de l'eau, ils sont au sommet de leur art lorsque
les choses deviennent difficiles pour leurs concitoyens, trouvant à coup
sûr les solutions qui vont leur rapporter gros et même très gros.
Médecins,
politiciens, chefs d'entreprises cotés au CAC 40, membres éminents de
congrégations ou d'ordres hermétiques, bref, le dessus du panier, ce qui
leur permet d'avoir toujours une longueur d'avance sur les autres,
avertis en priorité et souvent partenaires de grands désordres ou
scandales programmés. Ils sont le fleuron mondial de toutes les
manipulations connues et profitent toujours des crises pour s'enrichir
ou prendre le pouvoir.
Ce
sont souvent des familles très riches et parfois même leurs fortunes
dépassent honteusement la richesse d'un Pays dit "sous-développé" !
Ces
acteurs, à la base de nombreuses malversations, n'ont aucuns scrupules
et s'affichent avec vanité, bravant le bas-peuple et ne s'occupant
finalement que de leurs pouvoirs grandissants, en venant même parfois à
contrôler les États eux-mêmes, tellement leur influence est grande.
En
fait, cette famille dirige le monde et aide sans même se cacher, les
Pays quels qu'ils soient, afin de renverser un gouvernement, faire
éclater une famine, forcer une population à se faire vacciner ou encore
diriger un conflit armé pour la conquête d'une terre riche.
Tout leur est possible et ils ne s'en privent pas !
Les
malins sont en fait les véritables dirigeants de ce monde, possédant
85% de la richesse, ils sont assis sur un trône qui s'appelle la Terre
……
Notons au passage, que le nom de malin est très facilement associable au "malin" d'un type plutôt diabolique !
LES MARIONNETTES
Notre
dernière famille, représentant à peine 3% de la population, semble
régner sur le Monde, mais comme nous l'avons vu avec la famille
précédente, ils ne sont que les jouets des malins.
Ils
paraissent grands et puissants, mais en fait sont à la merci de ceux
qui tirent les ficelles, de ceux qui les ont installés là où ils se
trouvent, de ceux qui les ont fait élire et qui contrôlent sans cesse
leurs faits et gestes.
Une
famille finalement peu puissante face aux armes des malins, dont la
richesse peut tout acheter, même les Présidents de presque toutes les
Républiques.
Alors ils
en profitent pour se pavaner, s'exposer en tant que dirigeants,
voyageant, discourant de ci de là, s'affichant lors de réunions au
sommet ou durant les crises qui ne cessent de naître actuellement. Ils
sont en général adulés par les dormeurs et les indécis.
Mais
ceci n'est qu'illusion, un mirage qui fait croire aux peuples qu'ils
sont dirigés par des hommes comme eux, qui promettent toujours le
meilleur avant les élections, qui font mine de compatir lors
d'évènements tragiques, qui promulguent des lois et des décrets sous
l'autorité des malins, réduisant subrepticement les libertés de chacun
sans même que nous nous en rendions compte.
Ils
s'arrangent toujours pour annoncer un fait divers tragique au même
moment qu'une loi impopulaire ne paraisse. Ils ont très souvent de beaux
costumes présidentiels, mais qui ressemble étrangement aux habits de
marionnettes, d'où le nom hérité de leur famille !
Cette
dernière famille est finalement la plus triste, la plus malheureuse, se
croyant toute puissante, mais en permanence à la merci des tireurs de
ficelles, des marionnettistes que sont les malins.
Mais
cette famille n'est pas limitée aux politiciens. Nous pouvons aussi y
intégrer des sous-familles, comme certains médias, quelques
scientifiques, les forces armées et la police, ou d'autres sous-acteurs
qui participent à l'organisation de ces coups montés et autres
mascarades.
Finalement, dans ce rôle peu enviable, ils sont vraiment à plaindre !
Voici
les 7 familles qui m'apparaissent et qui j'espère vous parleront
également, sachant très bien que si vous êtes d'une famille différente
de la mienne, vous n'apprécierez peut-être pas ces écrits.
Mais
voilà justement ce qui fait la richesse du peuple. Les différences
d'opinions génèrent les discussions et le contact social, qui nous
manque affreusement ces temps-ci !
J'espère vous retrouver sereins et apaisés lorsque la crise sera passée.
Mémoires éternelles
Avez-vous eu vent de ces instants
passés,
gravés au fonds de nous, imprimés en
nos gènes ?
Ces bribes indélébiles de nos fugaces
vies,
si courtes parfois dans notre éternité
qu'elles ne font qu'effleurer nos
mémoires sans fonds.
Avez-vous regardé vers l'arrière sans
même vous retourner
et observé l'infini que vous avez gravi
?
Vous souvenez-vous seulement de ce
premier instant,
il y a une éternité déjà, ou peut-être
même plusieurs,
ce moment irréel, durant lequel, telle
une étincelle
vous naissiez de rien et du Tout, pour
illuminer le ciel étoilé
d'un nouveau feu de joie, d'un nouveau
feu de vie,
d'un éclat sans pareil pour ne jamais
s'éteindre.
Une lumière éternelle et une âme
immortelle est née
pour un destin magique dans cette immensité,
une mission merveilleuse qui ne
s'arrête jamais.
Tel le Phénix, vous naitrez et
renaitrez,
pour éclairer la vie, votre vie et
celle de tous.
Claude
Juin
2015
Ne parlons plus d'Amour ........ Cela peut être dangereux !
Voilà
un sujet tant et tant de fois abordé et pourtant toujours d'actualité
en ces temps de chasse à la sorcière, ou plutôt de chasse aux
distributeurs de bonheur.
Ce matin, comme de nombreux matins, je me posais une question tout en me douchant. C'est un moment où il me vient plein de réflexions en général, je ne sais pas pourquoi à ce moment là, mais c'est peut-être l'élément "eau" qui me provoque un regain d'activité cérébrale !
Je me disais que nous entendons de moins en moins le mot "Amour" autour de nous, dans notre entourage familial, nos amis, dans les médias et dans la majorité des domaines d'ailleurs.
Est-ce un mot qui se meurt ? Est-ce un mot qui est en passe de devenir obsolète, dévalorisant, sensible, à prendre avec des pincettes ou voire même dangereux ?
Entendez-vous ce mot de la bouche d'une personnalité politique ? D'un chef d'entreprise, d'un journaliste, d'un financier, d'un médecin ou encore d'un enseignant ?
Il semblerait que ce mot soit sorti du dictionnaire de ces gens-là !
De quoi ont-ils peur ? Pourquoi ne plus parler d'Amour en public, devant la presse, lors d'une campagne électorale ou lors de réunions patronales ou syndicales. Pourquoi une maîtresse ne peut plus parler d'Amour aux enfants qu'elle encadre et à qui elle est sensée éveiller le sens de la vie et des valeurs ?
J'ai le sentiment que ce mot devient dangereux et qu'il pourrait faire du tort à certaines personnes, pouvant faire croire que le pouvoir, la force, le leadership, la valorisation ou l'importance que l'on a vis-à-vis des autres, fondrait comme neige au soleil à partir du moment où l'on parlerait d'Amour.
Le président de la République qui donnerait son Amour à ses concitoyens lors d'une conférence de presse verrait-il sa popularité descendre dans les sondages ?
Une institutrice qui enseignerait la façon de donner de l'Amour serait-elle accusée par ses supérieurs ?
Un grand patron qui dirait à ses employés qu'ils les aiment de tout son cœur serait-il vilipendé par les syndicats ?
Si la réponse est oui, cela voudrait dire que le monde a encore du chemin à parcourir et de nombreuses choses à assimiler.
Oh, bien sûr, certains artisans se vantent sur leurs publicités de "l'amour du travail bien fait". Mais dans ce cas, n'est-ce pas l'utilisation de ce mot à des fins commerciales, bien loin du véritable sens de ce mot si important et je dirais même vital pour chacun de nous.
Même au sein d'une famille, n'avons-nous pas des difficultés à dire à ses enfants, à ses parents et même parfois à sa compagne ou compagnon que nous les aimons, alors que cet Amour est naturellement présent en nous et vis-à-vis de nos proches qui sont très souvent des âmes sœurs ou des âmes dont nous sommes très proche une fois sur nos plans de lumière.
De même, sur internet, le fait d'écrire le mot Amour trop souvent, provoquera une réaction pouvant être l'inverse de ce que l'on attend en général.
Nos sites internet sont épluchés et fouillés par des robots continuellement, afin d'y déceler ce qui pourrait être dangereux pour la sécurité nationale.
Çà, c'est la version officielle !!
Bien entendu, les sites terroristes, de violence, de dépravation et autres site dont le contenu serait une atteinte aux bonnes mœurs et une incitation aux actes les plus répréhensibles sont visés en priorité et heureusement qu'ils sont dans ce cas surveillés de près.
Mais nous avons aussi des sites, sensés enfreindre la bonne marche de nos organisations politiques, financières, industrielles, juridiques ou encore médiatiques, désirant gérer leurs troupeaux de moutons que la majorité des habitants de cette terre sont, sans le savoir vraiment.
Et dans ce cas, le bonheur de leurs sujets ne faisant pas partie de leurs plans, la chasse aux distributeurs d'Amour, de Bonheur, de Bien-être, de spiritualité, d'Éveil de conscience ou de Bonne santé doivent être également surveillés de près, ceux-ci pouvant mettre un gros bâton dans les roues de cette machinerie bien huilée depuis bien des lustres.
Et c'est là que l'AMI VILUDE intervient !
Voilà une organisation, dirigée par un membre de l'ordre des médecins comme par hasard, sensé faire la chasse aux sectes et autres dérives sectaires.
Mais je remarque finalement que les vraies sectes, les groupuscules pseudo-religieux telle l'église évangélique, annonçant des miracles lors de ses réunions, ou les témoins de Jéhova, réclamant un pourcentage des revenus à ses membres et bien d'autres groupes similaires, n'ont jamais été inquiétés et se portent de mieux en mieux.
Pourquoi me direz-vous ?
Simplement, ils ne marchent pas trop sur les plates-bandes du corps médical, lui-même financé indirectement par les lobbies pharmaceutiques, travaillant main dans la main avec le gouvernement, les financiers, qui eux-mêmes dirigent les médias et le monde juridique. Sans compter avec les religieux qui travaillent sur d'autres plans encore.
Je suis même persuadé que certaines religions, bien connues, n'utilisent jamais le mot "Amour" lors de leurs prêches.
Comme l'Amour, les soins thérapeutiques, les prises de conscience et autres enseignements spirituels véritables bousculent leurs plans, ils s'intéressent finalement plutôt à ces personnes qui n'hésitent pas à donner le meilleur d'eux-mêmes pour le bien des autres.
La chasse aux sorcières du moyen-âge est de nouveau au goût du jour et à l'époque déjà, la religion brûlait entre autres des hommes et des femmes qui préparaient simplement des remèdes naturels pour soulager les malades.
Nous y sommes !
Les thérapeutes sont surveillés de près et nous pouvons déjà entrevoir les sombres desseins de ces "chasseurs".
Le Reiki est sur la liste des sectes par exemple. Quelle exemple étonnant, lorsque l'on sait qu'un praticien travaille seul et finalement ne demande qu'une contrepartie des soins prodigués. En aucun cas il ne demande d'adhérer à un quelconque organisme avec obligation de revenir le voir !
Nous sommes loin de la définition d'une secte, avec le gourou à sa tête, demandant de l'argent à ses disciples et lavant leurs cerveaux à l'occasion.
Depuis quelques temps, bien d'autres soins thérapeutiques sont sur la liste précitée et nous nous demandons jusqu'où ils vont aller pour traquer le "méchant" thérapeute qui leur vole leur gagne pain.
Voilà pourquoi le mot Amour doit être malheureusement prononcé à voix basse dans ce monde virtuel et un peu trop matérialiste.
Mais finalement, le véritable Amour doit-il est prononcé et dit à voix hautes ?
L'Abbé Pierre, Sœur Emmanuelle, sœur Théresa et bien d'autres êtres aussi bons et généreux n'avaient pas besoin de parler d'Amour. Ils le donnaient tout simplement !
Lorsque l'on remontera sur nos plans de lumière, chez nous, quelle sera la question que l'on nous posera ?
"Qu'as-tu fait dans cette vie ?"
Et non pas "qu'as-tu dit dans cette vie ?"
L'Amour est une chose à dispenser autour de nous généreusement, sans limitations aucunes.
Nous savons maintenant qu'il est inutile d'en parler, mais que le plus important est de le donner !
Mais rassurez-vous, il n'y a pas de micros cachés partout ! Vous pouvez quand même dire "Je t'aime" à vos proches et tous ceux qui vous entourent. Vous pouvez aussi le penser fortement le plus souvent possible, car pour l'instant leur détecteur de pensées n'est pas encore au point !
Et puis, finalement, si vous désirez braver comme moi les interdits politiques, vous pouvez l'écrire tant que vous le voulez et tant que l'on nous le permettra. Nous braconnerons au nez et à la barbe des chasseurs d'Amour !
Ce matin, comme de nombreux matins, je me posais une question tout en me douchant. C'est un moment où il me vient plein de réflexions en général, je ne sais pas pourquoi à ce moment là, mais c'est peut-être l'élément "eau" qui me provoque un regain d'activité cérébrale !
Je me disais que nous entendons de moins en moins le mot "Amour" autour de nous, dans notre entourage familial, nos amis, dans les médias et dans la majorité des domaines d'ailleurs.
Est-ce un mot qui se meurt ? Est-ce un mot qui est en passe de devenir obsolète, dévalorisant, sensible, à prendre avec des pincettes ou voire même dangereux ?
Entendez-vous ce mot de la bouche d'une personnalité politique ? D'un chef d'entreprise, d'un journaliste, d'un financier, d'un médecin ou encore d'un enseignant ?
Il semblerait que ce mot soit sorti du dictionnaire de ces gens-là !
De quoi ont-ils peur ? Pourquoi ne plus parler d'Amour en public, devant la presse, lors d'une campagne électorale ou lors de réunions patronales ou syndicales. Pourquoi une maîtresse ne peut plus parler d'Amour aux enfants qu'elle encadre et à qui elle est sensée éveiller le sens de la vie et des valeurs ?
J'ai le sentiment que ce mot devient dangereux et qu'il pourrait faire du tort à certaines personnes, pouvant faire croire que le pouvoir, la force, le leadership, la valorisation ou l'importance que l'on a vis-à-vis des autres, fondrait comme neige au soleil à partir du moment où l'on parlerait d'Amour.
Le président de la République qui donnerait son Amour à ses concitoyens lors d'une conférence de presse verrait-il sa popularité descendre dans les sondages ?
Une institutrice qui enseignerait la façon de donner de l'Amour serait-elle accusée par ses supérieurs ?
Un grand patron qui dirait à ses employés qu'ils les aiment de tout son cœur serait-il vilipendé par les syndicats ?
Si la réponse est oui, cela voudrait dire que le monde a encore du chemin à parcourir et de nombreuses choses à assimiler.
Oh, bien sûr, certains artisans se vantent sur leurs publicités de "l'amour du travail bien fait". Mais dans ce cas, n'est-ce pas l'utilisation de ce mot à des fins commerciales, bien loin du véritable sens de ce mot si important et je dirais même vital pour chacun de nous.
Même au sein d'une famille, n'avons-nous pas des difficultés à dire à ses enfants, à ses parents et même parfois à sa compagne ou compagnon que nous les aimons, alors que cet Amour est naturellement présent en nous et vis-à-vis de nos proches qui sont très souvent des âmes sœurs ou des âmes dont nous sommes très proche une fois sur nos plans de lumière.
De même, sur internet, le fait d'écrire le mot Amour trop souvent, provoquera une réaction pouvant être l'inverse de ce que l'on attend en général.
Nos sites internet sont épluchés et fouillés par des robots continuellement, afin d'y déceler ce qui pourrait être dangereux pour la sécurité nationale.
Çà, c'est la version officielle !!
Bien entendu, les sites terroristes, de violence, de dépravation et autres site dont le contenu serait une atteinte aux bonnes mœurs et une incitation aux actes les plus répréhensibles sont visés en priorité et heureusement qu'ils sont dans ce cas surveillés de près.
Mais nous avons aussi des sites, sensés enfreindre la bonne marche de nos organisations politiques, financières, industrielles, juridiques ou encore médiatiques, désirant gérer leurs troupeaux de moutons que la majorité des habitants de cette terre sont, sans le savoir vraiment.
Et dans ce cas, le bonheur de leurs sujets ne faisant pas partie de leurs plans, la chasse aux distributeurs d'Amour, de Bonheur, de Bien-être, de spiritualité, d'Éveil de conscience ou de Bonne santé doivent être également surveillés de près, ceux-ci pouvant mettre un gros bâton dans les roues de cette machinerie bien huilée depuis bien des lustres.
Et c'est là que l'AMI VILUDE intervient !
Voilà une organisation, dirigée par un membre de l'ordre des médecins comme par hasard, sensé faire la chasse aux sectes et autres dérives sectaires.
Mais je remarque finalement que les vraies sectes, les groupuscules pseudo-religieux telle l'église évangélique, annonçant des miracles lors de ses réunions, ou les témoins de Jéhova, réclamant un pourcentage des revenus à ses membres et bien d'autres groupes similaires, n'ont jamais été inquiétés et se portent de mieux en mieux.
Pourquoi me direz-vous ?
Simplement, ils ne marchent pas trop sur les plates-bandes du corps médical, lui-même financé indirectement par les lobbies pharmaceutiques, travaillant main dans la main avec le gouvernement, les financiers, qui eux-mêmes dirigent les médias et le monde juridique. Sans compter avec les religieux qui travaillent sur d'autres plans encore.
Je suis même persuadé que certaines religions, bien connues, n'utilisent jamais le mot "Amour" lors de leurs prêches.
Comme l'Amour, les soins thérapeutiques, les prises de conscience et autres enseignements spirituels véritables bousculent leurs plans, ils s'intéressent finalement plutôt à ces personnes qui n'hésitent pas à donner le meilleur d'eux-mêmes pour le bien des autres.
La chasse aux sorcières du moyen-âge est de nouveau au goût du jour et à l'époque déjà, la religion brûlait entre autres des hommes et des femmes qui préparaient simplement des remèdes naturels pour soulager les malades.
Nous y sommes !
Les thérapeutes sont surveillés de près et nous pouvons déjà entrevoir les sombres desseins de ces "chasseurs".
Le Reiki est sur la liste des sectes par exemple. Quelle exemple étonnant, lorsque l'on sait qu'un praticien travaille seul et finalement ne demande qu'une contrepartie des soins prodigués. En aucun cas il ne demande d'adhérer à un quelconque organisme avec obligation de revenir le voir !
Nous sommes loin de la définition d'une secte, avec le gourou à sa tête, demandant de l'argent à ses disciples et lavant leurs cerveaux à l'occasion.
Depuis quelques temps, bien d'autres soins thérapeutiques sont sur la liste précitée et nous nous demandons jusqu'où ils vont aller pour traquer le "méchant" thérapeute qui leur vole leur gagne pain.
Voilà pourquoi le mot Amour doit être malheureusement prononcé à voix basse dans ce monde virtuel et un peu trop matérialiste.
Mais finalement, le véritable Amour doit-il est prononcé et dit à voix hautes ?
L'Abbé Pierre, Sœur Emmanuelle, sœur Théresa et bien d'autres êtres aussi bons et généreux n'avaient pas besoin de parler d'Amour. Ils le donnaient tout simplement !
Lorsque l'on remontera sur nos plans de lumière, chez nous, quelle sera la question que l'on nous posera ?
"Qu'as-tu fait dans cette vie ?"
Et non pas "qu'as-tu dit dans cette vie ?"
L'Amour est une chose à dispenser autour de nous généreusement, sans limitations aucunes.
Nous savons maintenant qu'il est inutile d'en parler, mais que le plus important est de le donner !
Mais rassurez-vous, il n'y a pas de micros cachés partout ! Vous pouvez quand même dire "Je t'aime" à vos proches et tous ceux qui vous entourent. Vous pouvez aussi le penser fortement le plus souvent possible, car pour l'instant leur détecteur de pensées n'est pas encore au point !
Et puis, finalement, si vous désirez braver comme moi les interdits politiques, vous pouvez l'écrire tant que vous le voulez et tant que l'on nous le permettra. Nous braconnerons au nez et à la barbe des chasseurs d'Amour !
Je vous envoie tout mon AMOUR